12 octobre 2005
Le Corbeau induisant toute ma triste âme encore
Le Corbeau induisant toute ma triste âme encore au sourire, je roulai soudain un siège à coussins en face de l’oiseau, et du buste, et de la porte ; et m’enfonçant dans le velours, je me pris à enchaîner songerie à songerie, pesant à ce que cet augural oiseau de jadis, à ce que ce sombre, disgracieux, sinistre, maigre, et augural oiseau de jadis signifiait en croissant : "Jamais plus." [...]
{ extrait du "corbeau", Edgar Allan Poe
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